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lundi 18 février 2013

RECOLLECTION DE CARÊME AUX JEUNES (CARÊME 2013)

THEME  CROIRE DANS LA CHARITE SUSCITE LA CHARITE. NOUS AVONS RECONNU ET NOUS AVONS CRU QUE L'AMOUR DE DIEU EST PARMI NOUS

Pour notre recollection de Carême nous vous livrons tout simplement le riche message du Pape sur le rapport entre la Foi et la Charité. En cette année de la foi, nous ne trouvons pas meilleure proposition de thème puisque le Carême se veut souvent le temps de tous les efforts spirituels et charitables… A partir de ce message chacun pourra discerner quelles orientations il pourra donner à « son » Carême. Nous, nous faisons juste quelques propositions.


MESSAGE DE BENOIT XVI POUR LE CAREME 2013

CROIRE DANS LA CHARITE SUSCITE LA CHARITE. NOUS AVONS RECONNU ET NOUS AVONS CRU QUE L'AMOUR DE DIEU EST PARMI NOUS

 1.       La foi comme réponse à l'amour de Dieu.

Dans ma première encyclique, j’ai déjà offert certains éléments pour saisir le lien étroit entre ces deux vertus théologales, la foi et la charité. En partant de l'affirmation fondamentale de l'apôtre Jean: Nous avons reconnu et nous avons cru que l'amour de Dieu est parmi nous, je rappelais qu'à l’origine du fait d’être chrétien, il n’y a pas une décision éthique ou une grande idée, mais la rencontre avec un événement, avec une Personne, qui donne à la vie un nouvel horizon et par là son orientation décisive... Comme Dieu nous a aimés le premier, l’amour n’est plus seulement un commandement, mais il est la réponse au don de l'amour par lequel Dieu vient à notre rencontre. La foi constitue l'adhésion personnelle, qui inclut toutes nos facultés, à la révélation de l'amour gratuit et passionné que Dieu a pour nous et qui se manifeste pleinement en Jésus-Christ. La rencontre avec Dieu Amour interpelle non seulement le cœur, mais également l'esprit. La reconnaissance du Dieu vivant est une route vers l’amour, et le oui de notre volonté à la sienne unit intelligence, volonté et sentiment dans l’acte totalisant de l’amour. Ce processus demeure cependant constamment en mouvement, car l’amour n’est jamais achevé ni complet. De là découle pour tous les chrétiens, et en particulier, pour les personnes engagées dans les services de charité, la nécessité de la foi, de la rencontre avec Dieu dans le Christ, qui suscite en eux l’amour et qui ouvre leur esprit à l’autre, en sorte que leur amour du prochain ne soit plus imposé pour ainsi dire de l’extérieur, mais qu’il soit une conséquence découlant de leur foi qui devient agissante dans l’amour. Le chrétien est une personne conquise par l'amour du Christ et donc, mû par cet amour, il est ouvert de façon concrète et profonde à l'amour pour le prochain. Cette attitude naît avant tout de la conscience d'être aimés, pardonnés, et même servis par le Seigneur, qui se penche pour laver les pieds des apôtres et s'offre lui-même sur la croix pour attirer l'humanité dans l'amour de Dieu. La foi nous montre le Dieu qui a donné son Fils pour nous et suscite ainsi en nous la certitude victorieuse qu’est bien vraie l’affirmation: Dieu est Amour. La foi, qui prend conscience de l’amour de Dieu qui s’est révélé dans le cœur transpercé de Jésus sur la croix, suscite à son tour l’amour. Il est la lumière, l’unique lumière, qui illumine sans cesse un monde plongé dans l’obscurité, et qui nous donne le courage de vivre et d’agir. Tout cela permet de comprendre que l'attitude principale qui distingue les chrétiens est précisément l’amour fondé sur la foi et modelé par elle.

2.       La charité comme vie dans la foi.

Toute la vie chrétienne est une réponse à l’amour de Dieu. La première réponse est précisément la foi comme accueil, plein d’émerveillement et de gratitude, d’une initiative divine inouïe qui nous précède et nous interpelle. Et le oui de la foi marque le début d’une histoire lumineuse d’amitié avec le Seigneur, qui remplit et donne son sens plénier à toute notre existence. Mais Dieu ne se contente pas que nous accueillions son amour gratuit. Il ne se limite pas à nous aimer, mais il veut nous attirer à lui, nous transformer de manière profonde au point que nous puissions dire avec Paul: Ce n’est plus moi qui vis, mais le Christ qui vit en moi. Quand nous laissons place à l’amour de Dieu, nous devenons semblables à lui, nous participons de sa charité même. Nous ouvrir à son amour signifie le laisser vivre en nous, et nous conduire à aimer avec lui, en lui et comme lui. C’est alors que notre foi devient vraiment opérante par la charité et qu’il prend demeure en nous. La foi, c’est connaître la vérité et y adhérer. La charité, c’est cheminer dans la vérité. Avec la foi, on entre dans l’amitié avec le Seigneur. Avec la charité, on vit et on cultive cette amitié. La foi nous fait accueillir le commandement du Seigneur et Maître, tandis que la charité nous donne la béatitude de le mettre en pratique. Dans la foi, nous sommes engendrés comme fils de Dieu, et la charité nous fait persévérer concrètement dans la filiation divine en apportant le fruit de l’Esprit Saint. La foi nous fait reconnaître les dons que le Dieu bon et généreux nous confie, et la charité les fait fructifier.

3.       Le lien indissoluble entre foi et charité.

A la lumière de ce qui a été dit, il apparaît clairement que nous ne pouvons jamais séparer, voire opposer, foi et charité. Ces deux vertus théologales sont intimement liées et il est erroné de voir entre celles-ci une opposition ou une dialectique. D’un côté, l’attitude de celui qui place d’une manière aussi forte l’accent sur la priorité et le caractère décisif de la foi, au point d’en sous-évaluer et de presque mépriser les œuvres concrètes de la charité et de la réduire à un acte humanitaire générique, est réductrice. Mais, de l’autre, il est tout aussi limitant de soutenir une suprématie exagérée de la charité et de son activité, en pensant que les œuvres remplacent la foi. Pour une vie spirituelle saine, il est nécessaire de fuir aussi bien le fidéisme que l’activisme moraliste. L’existence chrétienne consiste en une ascension continue du mont de la rencontre avec Dieu pour ensuite redescendre, en portant l’amour et la force qui en dérivent, de manière à servir nos frères et sœurs avec le même amour que Dieu. Dans l’Ecriture nous voyons que le zèle des apôtres à annoncer l’Evangile, que suscite la foi, est étroitement lié à l’attention charitable du service envers les pauvres. Dans l’Eglise, contemplation et action, symbolisées d’une certaine manière par les figures évangéliques des sœurs Marie et Marthe, doivent coexister et s’intégrer. La priorité va toujours au rapport avec Dieu et le vrai partage évangélique doit s’enraciner dans la foi. Parfois, on tend en effet à circonscrire le terme de charité à la solidarité ou à la simple aide humanitaire. Il est important, en revanche, de rappeler que la plus grande œuvre de charité est justement l’évangélisation, c’est-à-dire le service de la Parole. Il n’y a pas d’action plus bénéfique, et donc charitable, envers le prochain que rompre le pain de la Parole de Dieu, le faire participer de la Bonne Nouvelle de l’Evangile, l’introduire dans la relation avec Dieu: l’évangélisation est la promotion la plus élevée et la plus complète de la personne humaine. Comme l’écrit Paul VI dans l’encyclique Populorum Progressio, le premier et principal facteur de développement est l’annonce du Christ. C’est la vérité originelle de l’amour de Dieu pour nous, vécue et annoncée, qui ouvre notre existence à accueillir cet amour et rend possible le développement intégral de l’humanité et de tout homme. En somme, tout part de l’Amour et tend à l’Amour. L’amour gratuit de Dieu nous est communiqué à travers l’annonce de l’Evangile. Si nous l’accueillons avec foi, nous recevons ce premier et indispensable contact avec le divin en mesure de nous faire aimer l’Amour, pour ensuite demeurer et croître dans cet Amour et le communiquer avec joie aux autres. A propos du rapport entre foi et œuvres de charité, une expression de l'épître aux Ephésiens résume peut-être leur corrélation de la meilleure des manières: C’est bien par la grâce que vous êtes sauvés, à cause de votre foi. Cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Cela ne vient pas de vos œuvres, il n’y a pas à en tirer orgueil. C’est Dieu qui nous a faits, il nous a créés en Jésus-Christ, pour que nos œuvres soient vraiment bonnes, conformes à la voie que Dieu a tracée pour nous et que nous devons suivre. On perçoit ici que toute l’initiative salvifique vient de Dieu, de sa grâce, de son pardon accueilli dans la foi. Mais cette initiative, loin de limiter notre liberté et notre responsabilité, les rend plutôt authentiques et les orientent vers les œuvres de charité. Celles-ci ne sont pas principalement le fruit de l’effort humain, dont tirer gloire, mais naissent de la foi elle-même, elles jaillissent de la grâce que Dieu offre en abondance. Une foi sans œuvres est comme un arbre sans fruits: Ces deux vertus s’impliquent réciproquement. Le Carême nous invite précisément, avec les dix indications traditionnelles pour la vie chrétienne, à alimenter la foi à travers une écoute plus attentive et prolongée de la Parole de Dieu et la participation aux sacrements, et, dans le même temps, à croître dans la charité, dans l’amour de Dieu et envers le prochain, également à travers les indications concrètes du jeûne, de la pénitence et de l’aumône.

4.       Priorité de la foi, primat de la charité.

Comme tout don de Dieu, foi et charité reconduisent à l’action de l’unique et même Esprit, qui crie en nous: Abbà! Père, et qui nous fait dire: Jésus est Seigneur et Maranatha! Don et réponse, la foi nous fait connaître la vérité du Christ comme Amour incarné et crucifié, adhésion pleine et parfaite à la volonté du Père et miséricorde divine infinie envers le prochain. La foi enracine dans le cœur et dans l’esprit la ferme conviction que précisément cet Amour est l’unique réalité victorieuse sur le mal et sur la mort. La foi nous invite à regarder vers l’avenir avec la vertu de l'espérance, dans l’attente confiante que la victoire de l’amour du Christ atteigne sa plénitude. De son côté, la charité nous fait entrer dans l’amour de Dieu manifesté dans le Christ, nous fait adhérer de manière personnelle et existentielle au don total de soi et sans réserve de Jésus au Père et à nos frères. En insufflant en nous la charité, l’Esprit Saint nous fait participer au don propre de Jésus: Filial envers Dieu et fraternel envers chaque homme. La relation qui existe entre ces deux vertus est semblable à celle entre les deux sacrements fondamentaux de l'Eglise que sont le baptême et l’Eucharistie. Le baptême (Sacramentum Fidei) précède l'Eucharistie (Sacramentum Caritatis), mais il est orienté vers celle-ci, qui constitue la plénitude du cheminement chrétien. De manière analogue, la foi précède la charité, mais se révèle authentique seulement si elle est couronnée par celle-ci. Tout part de l’humble accueil de la foi (se savoir aimé de Dieu, mais doit arriver à la vérité de la charité (savoir aimer Dieu et son prochain), qui demeure pour toujours, comme accomplissement de toutes les vertus. Dans le Carême, où nous nous préparons à célébrer l’événement de la Croix et de la Résurrection, dans lequel l'Amour de Dieu a racheté le monde et illuminé l’histoire, je vous souhaite à tous de vivre ce temps précieux en ravivant votre foi en Jésus-Christ, pour entrer dans son parcours d’amour envers le Père et envers chaque frère et sœur que nous rencontrons dans notre vie.
 

QUELQUES INDICATIONS POUR VIVRE CE TEMPS DE CAREME

 X  Prendre souvent du temps pour méditer sur l’Amour de Dieu pour nous. Cela devrait raviver notre foi car elle « prend conscience de l’amour de Dieu qui s’est révélé dans le cœur transpercé de Jésus sur la croix »

X  Nul ne peut prétendre être croyant et ne pas être charitable : Bénéficiaire de l’Amour de Dieu et y ayant répondu par la foi, nous devons en témoigner par la charité.

X  Pour développer notre charité nous devons nous appliquer aux œuvres de miséricordes :

« Les œuvres de miséricorde sont les actions charitables par lesquelles nous venons en aide à notre prochain dans ses nécessités corporelles et spirituelles (cf. Is 58,6-7 He 13,3). Instruire, conseiller, consoler, conforter sont des œuvres de miséricorde spirituelle, comme pardonner et supporter avec patience. Les œuvres de miséricorde corporelle consistent notamment à nourrir les affamés, loger les sans logis, vêtir les déguenillés, visiter les malades et les prisonniers, ensevelir les morts (cf. Mt 25,31-46). Parmi ces gestes, l'aumône faite aux pauvres (cf. Tb 4,5-11 Si 17,22) est un des principaux témoignages de la charité fraternelle: elle est aussi une pratique de justice qui plaît à Dieu (cf. Mt 6,2-4) » (CEC n°2447)

X  « La plus grande œuvre de charité est justement l’évangélisation, c’est-à-dire le service de la Parole » : Il nous faudra pendant se temps de Carême nous mettre à l’école de la Parole de Dieu et nous donner le devoir de l’annoncer autour de nous. Ce n’est pas forcément en organisant une campagne d’évangélisation mais en y recourant pour donner conseil au service, au marché… en y faisant allusion pour déconseiller ou déplorer telle ou telle attitude.

 
© Aumônerie de la Jeunesse_Porto-Novo

lundi 11 février 2013


Ce matin 11 février 2013, le Pape Benoît XVI a annoncé qu’il se démettait de ses fonctions, à partir du 28 février à 20h

Voici son annonce traduite du latin au français par Radio Vatican :

"Frères très chers,
Je vous ai convoqués à ce Consistoire non seulement pour les trois canonisations, mais également pour vous communiquer une décision de grande importance pour la vie de l’Eglise. Après avoir examiné ma conscience devant Dieu, à diverses reprises, je suis parvenu à la certitude que mes forces, en raison de l’avancement de mon âge, ne sont plus aptes à exercer adéquatement le ministère pétrinien. Je suis bien conscient que ce ministère, de par son essence spirituelle, doit être accompli non seulement par les œuvres et par la parole, mais aussi, et pas moins, par la souffrance et par la prière. Cependant, dans le monde d’aujourd’hui, sujet à de rapides changements et agité par des questions de grande importance pour la vie de la foi, pour gouverner la barque de saint Pierre et annoncer l’Evangile, la vigueur du corps et de l’esprit est aussi nécessaire, vigueur qui, ces derniers mois, s’est amoindrie en moi d’une telle manière que je dois reconnaître mon incapacité à bien administrer le ministère qui m’a été confié. C’est pourquoi, bien conscient de la gravité de cet acte, en pleine liberté, je déclare renoncer au ministère d’Evêque de Rome, Successeur de saint Pierre, qui m’a été confié par les mains des cardinaux le 19 avril 2005, de telle sorte que, à partir du 28 février 2013 à vingt heures, le Siège de Rome, le Siège de saint Pierre, sera vacant et le conclave pour l’élection du nouveau Souverain Pontife devra être convoqué par ceux à qui il appartient de le faire."

Source : Zenit

Père Georges Willibrord GAYET, gayetleparisien@yahoo.fr

samedi 2 février 2013

LANCEMENT OFFICIEL DU PROJET « FOI D’ELITE » : INSTAURER ET REINSTAURER LA FOI EN DIEU PAR LA CULTURE ET LES ARTS.

C’est le Centre pastoral St Charles Lwanga de Ouando qui a servi de cadre, ce samedi 19 janvier 2013, à la cérémonie de lancement officiel de ce projet initié par l’Aumônerie de la jeunesse du Diocèse de Porto-Novo.


Mr Marcel FANOU et le Père Aurel AVOCETIEN

 Rassemblés autour d’un projet basé sur la foi et en cette année de la foi, le père Aurel Avocètien, aumônier diocésain de la jeunesse, n’a trouvé meilleure prière pour ouvrir cette cérémonie que le Credo. Il a ensuite, dans un bref mot d’ouverture, présenté le but de la rencontre et remercié l’assistance pour sa présence qui traduit son soutien à ce projet qui sort des sentiers battus et veut gagner des paris insoupçonnés.


Au premier plan Mgr Jean-Benoît G (à droite) et le P. Frumence V.
Avant que la parole ne fût laissée à Mgr Jean-Benoît Gnambodè pour le lancement officiel, il est revenu à Monsieur Marcel Fanou, Directeur artistique de ce projet, de le présenter dans ses grandes lignes au public. De ses propos, il est à retenir que « Foi d’Elite » est un projet artistique et culturel dans sa forme et religieux dans son fond. Conçu pour marquer l’année de la foi et éveiller et réveiller la foi, il veut mobiliser les jeunes du Diocèse autour de l’écriture d’une œuvre théâtrale basée sur 3 textes bibliques. Les œuvres proposées par les jeunes seront soumises à différentes phases d’évaluation, de sélection et de réécriture d’où il sortira au final une œuvre phare qui sera mise en scène par des acteurs choisis dans le diocèse et produite en tournée sur différentes scènes tant nationales qu’internationales ; enfin elle sera scénarisée pour produire un film. Il s’agit donc d’un vaste projet qui vise à instaurer, réinstaurer et approfondir la foi en Dieu par la culture et les arts. S’en est suivi un débat au cours duquel plus d’éclaircissements ont été apportés à ce qu’il restait de préoccupations et de zones d’ombre au niveau de l’assistance.
Vue partielle de l'assistance
Dans son discours de lancement, Mgr Jean-Benoît Gnambodè a dit toute sa joie d’accueillir un tel projet. Pour lui, « Foi d’Elite » ne peut qu’être encouragé dans la mesure où il s’agit d’un projet à travers lequel l’Eglise locale mettra l’art au service de la croissance de la foi aux moyens de la littérature, du théâtre et du cinéma, ce qui entre justement dans la logique de la nouvelle évangélisation retenue par le dernier synode. De ce fait donc, il apprécie personnellement le projet dont il félicite vivement les initiateurs. Il a, pour finir, exprimé son souhait, d’abord de voir les jeunes se mobiliser réellement autour de ce projet afin de le faire vivre, ensuite que chaque action du projet soit menée par des chrétiens catholiques afin qu’elle soit empreinte de toute la foi et la dévotion requises et enfin que toutes les mains, petites et grandes, se mettent ensemble pour porter et faire évoluer ce projet. C’est sur ces souhaits que Mgr Jean-Benoît Gnambodè a donc solennellement et officiellement lancé le projet « Foi d’Elite ».

Comme pour exaucer déjà le dernier souhait exprimé par Mgr dans son discours, il a été organisé une action de grâce/collecte de fonds pour lancer le projet qui a permis de recueillir la symbolique somme de cinquante cinq mille neuf cent quatre vingt (55.980) francs CFA.

Dans son mot de fin et dans un devoir de gratitude, à l’image du 10ème lépreux reconnaissant de l’évangile, le père aumônier de la jeunesse est revenu, pour remercier toute l’assistance : invités, parents et prêtres, de leur écoute attentive, de leur participation effective et enrichissante au débat et de leur contribution financière pour démarrer le projet. Il a également exhorté les jeunes à faire connaître le projet autour d’eux et à participer réellement aux activités de mise en œuvre afin de se montrer vraiment dignes de la confiance que les parents et ainés placent en eux dans cette grande aventure de la foi.



Choeur Ave Maria
C’est sur ces mots que prit fin, à 11h15mn, cette cérémonie de lancement officiel du projet « Foi d’Elite » qui avait démarré aux environs de 9h30mn.


Notons aussi que les différentes parties de cette cérémonie furent ponctuées d’intermèdes culturels (louanges, sketch) assurés par le Chœur vocal international Ave Maria de Porto-Novo et la troupe théâtrale du Mouvement Catholique des Frères et Sœurs de la Jeunesse.


La troupe théatrale du MCFSJ















Par Maryse GLELE AHANHANZO


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