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ANNEE DE LA FOI ! "Dieu nous aime. N’ayons pas peur de l’aimer. La foi se professe par la bouche et par le cœur, par la parole et par l’amour" Pape François "

lundi 11 avril 2011

OUIDAH 2011 : LA JEUNESSE AU RENDEZ-VOUS DU JUBILE

A raison, les célébrations du jubilé ont fait une place à la jeunesse en initiant les premières journées nationales de la jeunesse qui se sont déroulées à Ouidah du vendredi 08 au dimanche 10 avril dernier. Ce fut l’occasion pour plus de 2500 jeunes des 10 diocèses de notre Eglise locale de se rencontrer, de prier ensemble, de prendre conscience d’elle-même et de sa mission dans l’Eglise pour les années à venir.

Vendredi 08, un peu plus de 09 heures, tandis que le comité d’organisation continuait d’assurer les dernières mises en place, les premières délégations de jeunes ont commencé à fouler le sol de Ouidah. Puis, les bus succédant aux bus, les voitures aux voitures, des motos aux motos, en peu de temps, la Basilique fourmillait de jeunes. Formalités d’inscription, installation et déjà l’heure de la première activité a sonné.
Parti de la place du centenaire érigé en 1961 par le Père BOTHUA, l’impressionnant cortège de chemin de croix échoua au Fort portugais pour la messe présidée par Mgr René-Marie EHOUZOU, évêque de Porto-Novo et chargé du Jubilé. On se rappelle qu’à l’arrivée des missionnaires de la Société des Missions Africaines de Lyon (SMA), leur 1ère messe y a été célébrée le 21 avril 1861. Là repose d’ailleurs le Père Fernandez, premier missionnaire SMA mort chez nous.
Le diner qui suivit fit place à de géants concerts organisés simultanément à la Basilique et au Fort Portugais. En ce même moment se déroulaient les éliminatoires du jeu « Mémoire d’une Eglise », sorte de jeu ‘’Génie en herbe’’ portant sur l’histoire de notre Eglise depuis 150 ans. Cinq diocèses (Cotonou, Dassa, Lokossa, Parakou et Porto-Novo) ont pris part à ce jeu sanctionné par la consécration de l’équipe de Cotonou et celle de Porto-Novo pour la finale.
La catéchèse du samedi matin, présentée par le Père Franc AGBOHAYI (Eudiste) à la paroisse St Paul de Tovè, permit aux jeunes de mieux prendre conscience d’eux-mêmes. « La jeunesse, quel don ! » en était le thème. La bénédiction du buste du Père Fernandez mort à 28 ans ouvrit la marche missionnaire vers la Basilique où eut lieu la messe à la mi-journée, messe présidée par Mgr Antoine GANYE, archevêque de Cotonou.
Les activités de l’après-midi s’ouvrirent par la finale du jeu « Mémoire d’une Eglise » où les jeunes de Cotonou ont pris le meilleur sur leurs frères voisins de Porto-Novo.
Les jeunes ont accordé un grand intérêt aux enseignements en panels-ateliers sur divers thèmes (Blessures de la vie ; Amitié-Amour ; Emploi, réussir sa vie ; Les Sectes ; Connaissance de l’Eglise ; Histoire de l’Eglise du Bénin ; Engagement dans l’Eglise Engagement social ; Mariage ; Bonheur). Certains n’ont pas craint de rester debout une heure et plus pour boire à la source de connaissance des animateurs. Puis le diner, avant que ne s’ouvre à la Basilique la l’éclatante procession aux flambeaux qui conduisit les jeunes au Stade de Ouidah. Là, commença la veillée du Jubilé faite de prières, de louanges de jeux scéniques etc. et surtout des échanges avec le Cardinal Philippe BARBARIN, archevêque de Lyon qui répondit de façon à la fois simple et impressionnante aux questions des jeunes.
Le lendemain connut l’apothéose des célébrations avec la grande messe du jubilé présidée par le Cardinal BARBARIN invité pour la circonstance en souvenir des missionnaires qui nous venaient de Lyon. Il était entouré de la Conférence épiscopale du Bénin et d’autres évêques voisins ou amis. On notera aussi la présence de délégation venue d’Espagne et d’Italie et des foules de chrétiens de notre pays venus par bus entiers. Rien n’a manqué à la solennité de la célébration dont on pourra retenir entre autre la bénédiction de la Croix du Jubilé, la belle homélie du Cardinal et l’envoi en mission de l’Eglise du Bénin à travers de représentants de diverses couches de notre Eglise : enfants, jeunes, mariés, vieux, religieux, religieuses, prêtres. A la fin de la messe la Croix fut confiée au diocèse de Lokossa en la personne de son pasteur Mgr Victor AGBANOU. Elle fera ainsi le tour de nos dix diocèses.
De retour sur les sites après la messe, les jeunes n’avaient plus qu’à prendre le repas puis le départ se donnant certainement rendez-vous pour d’autres célébrations.

Nota Bene : La participation de notre diocèse
La mobilisation faite sur le terrain a permis de faire officiellement participer près de 330 jeunes : 240 délégués pour une trentaine de paroisses, 18 non délégués, 72 des trois chorales désignées pour les concerts. A cet effectif général il faudra surement ajouter une quarantaine de jeunes non délégués venus d’initiative propre et directe.

Nos représentants étaient :
  • Jeu « Mémoire d’une Eglise » : Equipe de la Paroisse de Kpodji
  • Concerts : Chorales des paroisses de Pobè, Adjarra et Ekpè.
  • Composition de trois stations de chemin de Croix : Paroisse de Tchaada
Tous ont fait une prestation louable et unanimement saluée.

mardi 5 avril 2011

Recollection de Carême


THEME  
« IL N’Y A PAS DE PLUS GRAND AMOUR 
QUE DE DONNER SA VIE POUR SES AMIS »

Qui est Jésus ? La recollection de l’Avent nous a permis de connaître la vraie identité de celui que nous invoquons en tout temps. Nous y avons saisi que Jésus est réellement et à la fois homme et Dieu.
Pourtant, l’action salvatrice de cet Homme-Dieu, qui explique cette double nature qu’il possède, n’apparaît plus clairement que dans son mystère pascal c’est-à dire sa passion, mort et résurrection. Alors que nous nous préparons à la célébration de ce mystère, il semble donc opportun pour nous de méditer sur l’une des dernières paroles que notre rédempteur nous laisse comme testament : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis » (Jn 15,13)

Contexte : L’amour, un commandement nouveau
Quelques jours avant qu’il ne monte vers son Père, Jésus instruit ses disciples rassemblés autour de lui. Il les invite entre autres à demeurer dans son amour. Et, pour lui, demeurer dans son amour veut dire garder ses commandements (cf. Jn 15,9-10) qui se résument à vivre de façon réciproque l’amour fraternel comme il en a donné l’exemple : « Voici quel est mon commandement: vous aimer les uns les autres comme je vous ai aimés. » (Jn 15,12). Notre verset de méditation vient juste après : « Il n’ya pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis » (Jn 15,13).
Pour y entrer, nous essayerons d’abord de comprendre l’enseignement de Jésus sur le commandement de l’amour. Ensuite, nous verrons la réponse de l’humanité à cette loi d’amour. Enfin, nous dégagerons quelques implications pour une vie chrétienne en conformité avec l’évangile.

1-     L’enseignement de Jésus sur le commandement d’amour
L’Ancien Testament était déjà témoin de l’amour entre Dieu et les hommes. Au fil de l’histoire, cet amour vécu entre les deux s’est même radicalisé en commandement : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit ». (Dt 6,5) « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ». (Lv 19,18). Ce double commandement, Jésus l’a parfaitement pratiqué et enseigné dans sa vie.
µ  La vie de Jésus témoigne de ce double commandement
Tout donné au Père depuis le début de sa vie (Lc 2,49) et surtout dans la parfaite conformité à la volonté de son Père (Jn 4,34 ; 6,38), Jésus est sans cesse à l’écoute de Dieu (Jn 8,26.40) à qui il manifeste son amour dans la prière et l’action de grâces (cf. Mc 1,35 ; Mt 11,25). Il témoigne de cette relation d’union qu’il entretient avec son Père : « Mon père et moi nous sommes uns » (Jn 10,30).
A l’égard des hommes, sa vie est aussi toute donnée, non seulement à quelques amis (cf. Mc 10,21 ; Lc 8,1ss), mais à tous (Mc 10,45). Partout où il passe, il fait le bien (Ac 10,38 ; Mt 11,28ss), dans le désintéressement total (Lc 9,58) et l’attention à tous, y compris et surtout les plus méprisés et les plus indignes (Lc 7, 36-50 ; 19,1-10 ; Mt 21,31s).
Pour nous, depuis que Dieu s’est fait homme en Jésus, c’est en aimant ce dernier qu’on aime le Père (Mt 10,40 ; Jn 14, 21-24). Et aimer Jésus c’est garder intégralement sa parole (Jn 14, 15.21.23) et le suivre en renonçant à tout (Mc 10, 17-21, Lc 14,25ss) comme lui-même Jésus l’a fait jusqu’au sacrifice suprême de la croix.

µ  La croix, expression suprême de l’amour de Jésus
La souffrance et la mort de Jésus que nous allons bientôt célébrer montrent de façon décisive qu’il a vécu jusqu’au bout ce double commandement d’amour. En effet, elles révèlent combien Jésus a aimé Dieu en lui demeurant obéissant jusqu’à la mort (Ph 2,8) et combien il a aimé les hommes en se livrant pour eux (Jn 13,1).
Sans avoir commis de péché ou de délit, à travers la tentation et l’apparent abandon de Dieu (Mc 14,32-41 ; 15,34), dans la solitude humaine radicale (Mc 14,50), pardonnant et accueillant encore (Lc 23, 28.34.43 ; Jn 19,26), Jésus arrive à l’instant unique du « plus grand amour » (Jn 15,13). Il y donne tout, jusqu’à sa vie, et sans réserve à Dieu (Lc 23,46) et à tous les hommes sans exception (Mc 10,45 ; 14,24).
Par la croix, Dieu et l’homme communient dans l’unité. Encore faudrait-il que l’homme accepte librement un si total et exigeant amour qui doit l’amener à se sacrifier à la suite du Christ (Jn 17,19) et à vivre aussi le scandale de la croix qui n’est autre que le scandale de l’amour.

µ  L’enseignement de Jésus sur le commandement d’amour
Ce qu’il a vécu de l’amour, Jésus nous enseigne de le vivre en s’imposant d’emblée comme notre modèle (Jn 13,34 ; Jn 15,12).
Jésus nous enseigne d’aimer tous nos frères, de nous aimer les uns les autres (Mc 12,29 ; Jn 13,34 ; 15,12.17) ; pas seulement amis, parents et bienfaiteurs mais aussi les inconnus au-delà des barrières, de clans et de races (Mt 5,46 ; Lc 6,32 ; 14,12), et même les ennemis (Mt 5,43 ; Lc 6,27). Il recommande d’aimer spécialement les nécessiteux et les faibles, sans défense ou marginaux (Mt 10,42 ; 18,10-14 ; 25,31-46 ; Lc 10,27). C’est un tel amour désintéressé qui va jusqu’à l’amour des ennemis et au don de sa vie que l’humanité est appelée à vivre.

2-     L’humanité et la loi de l’amour
A Dieu qui l’a aimé en Jésus-Christ et lui a enseigné l’aimer Lui et d’aimer son prochain, l’homme doit rendre la pareille, c’est-à-dire amour pour amour jusqu’à donner lui aussi sa vie

µ  « Donner sa vie » et « amis », qu’est-ce que cela veut dire ?
L’amour fraternel voulu par Jésus signifie se sacrifier pour les autres comme nous l’avons vu avec Jésus lui-même. Donner sa vie veut dire se sacrifier pour les autres, rechercher le bonheur des autres quoiqu’en soit ce que cela coûtera, accepter de compatir à leur souffrance, laisser tomber le moi et l’intérêt personnel. Donner de son temps, de son avoir pour répondre aux besoins des autres. Poser toutes les gestes de charité et de générosité sans rien attendre en contrepartie.
Tous ces services doivent avoir pour destinataires les amis nous dit Jésus. Mais qui sont-ils ? Est-ce ceux avec qui nous nous entendons seulement, ceux envers qui nous éprouvons quelque sentiment favorable ?
Pour aller en avant dans la compréhension nous pouvons nous référer avec bonheur à la parabole du bon samaritain (Lc 10, 25-36) dans laquelle Jésus répond à la question : « Qui est mon prochain ? ». En conclusion, tout homme est mon prochain, mon ami ; qu’il soit connu ou pas, pourvu qu’il ait besoin d’un geste d’amour. Et Jésus recommande expressément d’aimer aussi les ennemis pour que notre amour soit authentiquement chrétien et différent de celui des païens (cf. Mt, 5,43 -47 ; Lc 6, 27-35). Bref, pour Jésus, les amis désignent tous les hommes envers qui il faut manifester un geste d’amour sans condition et sans borne. Ceci est bien difficile pour l’homme.

µ      L’homme un réfractaire à la loi de l’amour
C’est obvie que l’homme peine encore à vivre pleinement cet amour voulu par le Christ. Lorsqu’il ne s’y dérobe pas il n’est souvent pas constant dans l’effort. Quelques faits notre vie nous le démontrent bien : La recherche d’intérêt personnel ; La recherche effrénée de gain facile et malhonnête ; L’esprit de sauve-qui- peut ; Travaux bâclés ou mal faits pourvu qu’on ait son salaire ; Démission à la rencontre de moindre difficulté ; L’individualisme ; Egoïsme ; L’avarice Non au bénévolat ; Non assistance aux nécessiteux, aux mendiants ; Non visite aux malades, aux prisonniers…
La liste est longue. Au regard de ce tableau ombrageux, la Parole de Dieu retentit pour nous : «  Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis ». Que faire ? Quelle résolution prendre en ce temps de carême pour éviter le châtiment de Dieu au jour du jugement ? Nous voudrions suggérer quelques éléments d’implication au regard de tout ce qui précède

3-    Implications
Nous devons, par ce temps de carême, consentir à faire des efforts
§         L’homme, image de Dieu : Redonner à l’homme sa dignité. L’homme est créé à l’image et à la ressemblance de Dieu. Qui blesse l’homme porte atteinte à Dieu.
§         La réconciliation : Beaucoup de foyers de tension existent : au niveau familial, communautaire, national et international. Pas d’amour sans pardon. Même si la désunion arrivait, le pardon et la réconciliation sont là pour restaurer la paix et l’amour.
§         Solidaire pour cheminer vers le royaume : Donner de son temps, de ses ressources spirituelles et matérielles pour soulager les autres afin de cheminer ensemble vers le royaume.
§         La pratique religieuse : Fait de la réception des sacrements une occasion de communion intime et profonde avec Dieu et le prier pour lui manifester notre amour. Trouver du temps pour Dieu, c’est l’aimer.
§         La vie missionnaire : Visiter les malades, les prisonniers… Relire l’histoire de notre évangélisation : par amour les missionnaires sont venus nous porter l’Evangile il y a 150ans. Et nous, quel bonheur apportons-nous à aux autres ? …
§         Les relations mixtes : Pouvoir « donner sa vie » comme ultime critère de l’amour authentique, même dans les relations mixtes des jeunes. Lorsque je dis « je t’aime » est-ce que ça équivaut en moi à « Je suis prêt à mourir pour toi ».

dimanche 3 avril 2011

Journées Diocésaines de la Jeunesse

KETOU 2011 :
JOURNEE DIOCESAINE DE LA JEUNESSE ET JUBILE

Pour s’inscrire dans l’actualité de l’Eglise locale, l’aumônerie des jeunes a voulu faire de la journée diocésaine de la jeunesse de cette année une célébration jubilaire. Près de 2000 jeunes régulièrement inscrits ont pris part à ce rendez-vous de Kétou du vendredi 01er au dimanche 03 avril 2011. Ce fut l’occasion pour ces jeunes de se rencontrer, de prier ensemble, de prendre conscience d’eux-mêmes et de leur mission dans l’Eglise pour les années à venir.
Vendredi 01er, tandis que le comité d’organisation continuait d’assurer les dernières mises en place, le coucher du soleil coïncidait avec l’arrivée des premières délégations de jeunes. Puis dans un bruit successif de moteurs, la paroisse de Kétou fut envahie en quelques heures. Formalités d’inscription, installation et déjà l’heure de la première activité a sonné.
Partie de la paroisse, une impressionnante caravane a fait le tour de la ville avant de revenir échouer à son point de départ. Il ne restait plus qu’au Père Georges OLOUDE, curé de la paroisse d’adresser des mots de bienvenue dûment rédigés à cette jeunesse en liesse. Et les formalités d’accueil devaient se poursuivre jusque tard dans la nuit.
La journée du samedi s’ouvrait par la messe concélébrée par tous les pères présents notamment les aumôniers diocésains, décanaux et d’autres pères ayant accompagné les jeunes de leur paroisse. Une pause pour le petit-déjeuner a servi à lancer la séance d’enseignement sur le thème : « Le jeune et la mission dans l’Eglise aujourd’hui » présenté par le Père Guy BOGNON. Plus détendu, l’exposé sur l’histoire de l’Evangélisation de notre diocèse a suscité un intérêt extraordinaire qui a conduit directement à la pause de la mi-journée.
L’après-midi les jeunes ont vécu avec ferveur les diverses dévotions proposées : rosaire, chemin de croix, adoration communautaire et sacrement de réconciliation. Le repas a débouché sur la soirée récréative au cours de laquelle les paroisses désignées ont rivalisé de talents pour nous distraire mais aussi nous faire revivre les débuts de la mission à Porto-Novo. A la fin, la délibération du jeu concours Spécial Jubilé fut faite et les lauréats (10) primés. Tous se retirèrent pour un légitime repos en attendant la messe pontificale du lendemain.
Entouré d’une douzaine de concélébrants, le Père Jules C. DOSSAH présida la messe en tant que représentant de Monseigneur empêché. Ce fut une belle liturgie qui se termina comme d’habitude par une joyeuse et longue action de grâce. Et chacun prit le chemin de retour qui pour se donner rendez-vous à Ouidah pour le week-end suivant, qui pour plus tard.
Cette belle fête de la jeunesse diocésaine a été rendue possible entre autres par Monseigneur qui y a fortement mis les moyens financiers, logistiques et même des lots pour les prix du Jeu-Concours. Nous l’en remercions profondément et attendons qu’il désigne le lieu de la prochaine journée diocésaine de la jeunesse.

L’Aumônerie

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